absence. dilemme.
1 semaine, presque de désertion, involontaire mais pas anodine. En fait, c'est les vacances, en fait je suis encore plus débordée qu'au boulot, en fait, j'ai envie d'être dehors et en fait je scotche 4 fois (40 fois!!!) moins sur l'ordi qu'en temps normal... on est dehors, on voit du monde (beaucoup de monde) on joue, on bosse... etc... et les "médias" n'ont plus aucune emprise sur nous. Pourquoi j'ai mis en place un projet à partir de l'ordi? pourquoi c'est le biais qui m'a semblé logique alors qu'en fait... je n'aime pas ça, c'est chronophage, addictif, et bien que ça contribue à garder des liens sociaux c'est vide de contact humain... on pense tout haut, on dit tout bas, ou on ne dit pas... on est toujours en ligne mais jamais totalement disponible, et du coup, on est jamais totalement disponible non plus dans le réel pcq toujours "connecté"...
on choisit des justes milieux, des temps de droit d'accès, mais ça déborde toujours, et/ou la vie nous rappelle que c'est pas l'essentiel...
ça fait réfléchir à l'importance des contacts humains, (les vrais) et ) leur fréquence... Pourquoi n'ose -t-on pas bien souvent dire en vrai ce qu'on ose dire par le biais de l'écran, et pourquoi ne voit-on pas plus souvent les gens importants dans notre vie plutôt que de perdre son temps en recherches infructueuses sur le net, ou autre tissage webivore?!!!
Est ce que j'ai envie de continuer? pourtant oui... il va falloir que je remédie au sens que j'y mets, et à l'organisation je crois...